Recherche réchauffement climatique désespérément
Megève, Haute-Savoie, 1100 mètres d’altitude. Nous sommes le samedi 27 mars. Il est 17 heures. Il neige sans interruption depuis la nuit dernière. Le thermomètre sur le balcon indique 2 degrés centigrades.
« Pourtant, que la montagne est belle (1)
Comment peut-on s’imaginer
Voyant la neige tomber d’plus belle
Que le printemps vient d’arriver. »
Les évolutions thermiques depuis quelques années, en France et ailleurs, les malversations des scientifiques (sic) du GIEC révélées dans les médias, ont donné raison aux climato-sceptiques. Le réchauffement climatique est feu, si j’ose dire. Mieux, nous revenons peut être, à une légère glaciation.
Les Che Guevara « réchauffistes » ont bonne mine, eux qui m’accablaient de leur courroux, il y a quelques années, quand je dénonçais leur bobard ici-même (voir mes articles dans la catégorie : Ecologie libérale). Certains suggéraient même que j’étais une sorte de négationniste. Toujours cette référence récurrente à la Shoah qui ne lâche pas nos inquisiteurs modernes.
Qu’ils se rassurent, je serai plus indulgent qu’eux et n’étant pas de la graine des Torquemada, j’aurai le triomphe modeste et n’aurai pas la cruauté de leur rappeler leurs affirmations péremptoires. Il n’empêche : ces idéologues de quatre sous auront bien pollué la vie des honnêtes gens pendant un moment.
Mais, à présent, qu’ils se taisent.
SW
(1) Mais, sur la photo, on ne la voit plus !