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Vent d'Auvergne

29 septembre 2021

Où en sommes-nous du Nouvel ordre mondial ?

Louis d'Alencourt est un catholique traditionnaliste qui, depuis neuf années, décripte les tribulations du monde moderne au regard de l'apocalypse de Jean. Il est devenu un spécialiste modeste mais reconnu de l'eschatologie. Ses articles sont accessibles sur son site "Le grand réveil".
Son dernier article, mis en ligne le 29 septembre, intitulé "L'agenda mondialiste avance", annonce les événements prévus pour les années qui viennent  par les élites mondialistes pour instaurer leur dictature planétaire.
Aussi ce texte revêt une importance capitale pour tous ceux qui font profession de prévision et d'analyse de l'actualité. C'est pourquoi  j'ai tenu à vous le faire connaître.

Vent d'Auvergne

 

bidenSatan



Avez-vous remarqué la sélection partiale et arbitraire des sujets traités par les médias ? Ils s’étalent sur certains et en passent d’autres presque sous silence. En France, il est flagrant qu’on occupe les gens, et donc les esprits et donc les conversations, principalement avec des futilités.

Sur quoi s’appesantissent nos médias en ce moment ? Sur l’Afghanistan, sur la perte du contrat du siècle, sur la Présidentielle 2022. Que des sujets qui en réalité n’ont aucune importance.

L’Afghanistan n’a aucun intérêt ni géopolitique, ni économique, ni culturel pour l’Occident ; tout le monde s’en fiche, à commencer par les américains.
La perte du contrat d’armement avec l’Australie n’est que l’illustration de la nullité de nos autorités politiques et industrielles et de l’impressionnant recul du poids de la France dans le monde.

La Présidentielle 2022 n’intéresse que les cocus de la politique qui n’ont pas encore compris que le système est totalement verrouillé depuis 1945 : seuls des membres sélectionnés pour leur docilité et leur allégeance au système peuvent être autorisés à diriger le pays, et se succèdent sans discontinuer depuis 76 ans. Tout le reste c’est un décor grandeur nature dans lequel s’agitent de acteurs pour maintenir l’illusion de la démocratie.

Par contre, l’ouverture de la 76è session de l’ONU le 21 septembre, marquée par le premier discours du Président américain devant l’Assemblée Générale, a été traitée à la va-vite comme une information banale, c’est à dire par un simple compte-rendu dont la durée de vie n’excéda pas quelques heures le jour même.

Et pourtant ces discours revêtaient une importance bien supérieure à celles des sujets évoqués plus haut, tout simplement parce que ces messieurs ont traité de l’avenir du monde.

Il faut donc que les gens aient conscience que lorsque les médias approfondissent un sujet et le traitent sur plusieurs jours, voire plusieurs semaines, c’est pratiquement à coup sûr un fait secondaire, banal, superficiel, qui sert à endormir les populations et à les détourner des sujets vraiment primordiaux ; ceux-ci étant traités, le plus souvent, à l’inverse, c’est à dire comme ayant peu d’intérêt. Pour eux. Donc ils passent très vite et on ne les retient pas, on n’y fait même pas attention. Voilà pourquoi les populations se réveillent un matin en apprenant avec stupéfaction l’apparition d’événements de premier ordre qui, en réalité, avaient été planifiés et annoncés par les dirigeants de ce monde, mais sans qu’on n’y prenne garde, parce que les médias se gardent bien, ceux-là, de les mettre en avant. Mon confrère Pierre Hillard démontre avec talent cette évidence : rien n’est caché en réalité, mais on fait en sorte que les populations ne se préoccupent pas de l’essentiel.

D’autre part, sans faire le lien à l’époque avec l’ONU, j’avais moi-même annoncé en août le 21 septembre 2021 comme date à surveiller, c’est à dire à laquelle pouvait avoir lieu un événement intéressant le calendrier eschatologique. Je ne peux savoir à l’avance le type et la nature de l’événement, et je ne cherche pas à le savoir ; s’il y en a un tant mieux, s’il n’y en a pas, tant pis.
En l’occurrence, pour une fois, il y en a eu un, qui mérite de s’y attarder.

21 septembre 2021 : ouverture de la 76è session de l’ONU

Pou ceux qui ne le savent pas, les sessions des Nations-Unies vont de septembre à septembre, et s’ouvrent traditionnellement le troisième mardi de septembre.

Je rappelle que les Nations-Unies sont le fameux gouvernement mondial mis en place en 1945 et que de nombreux « prophètes » attendent encore alors qu’il existe sous nos yeux depuis 76 ans.

Selon les termes mêmes de l’ONU, l’ouverture d’une session est un rassemblement annuel des dirigeants mondiaux : ce n’est donc pas rien. Ces messieurs se réunissent entre eux, voilà pourquoi, peut-être, le petit peuple de goys que nous sommes n’a pas besoin d’en savoir plus.

Pour ce 21 septembre, étaient présents une centaine de chefs d’états et de gouvernements et des dizaines de ministres, soit la moitié des dirigeants mondiaux !

Je rappelle, pour ceux qui ont la mémoire courte, que le 25 septembre 2015, la 70è session avait été inaugurée par le pape François devant les trois quart des chefs d’Etat et de gouvernement du monde (!), lesquels ont adopté le même jour le fameux agenda 2030.

On a peine à croire que les médias trouvent banal que la moitié des dirigeants du monde, ou les trois quarts, soient réunis en un même lieu à une même date, et pourtant c’est ainsi qu’ils traitent l’info ! Alors qu’il s’agit d’événements exceptionnels, jamais vus sur la planète avant la création de l’ONU. Et qui va croire un instant que ces hommes se déplacent pour faire de la figuration ?
Tout le monde le sait : l’ONU est le gouvernement mondial, lui-même coiffé par un aréopage de quelques pays réunis dans le G7 et le Conseil de Sécurité, donc quand ces messieurs sont convoqués, c’est pour entendre les instructions de l’élite dirigeante et prendre connaissance du planning officiel.
Que tout le monde signera ensuite doctement comme un seul homme (pensez à l’agenda 2030 ou à la COP21 : on discute pour la galerie, mais tout le monde signe en définitive le protocole d’accord rédigé avant la réunion).

C’est pourquoi, quand un Président américain fraîchement élu décide d’intervenir devant cette Assemblée Générale pour la première fois de son mandat, ce n’est pas un événement basique mais au contraire l’annonce à ses collègues du programme que ses commanditaires ont préparé pour les années à venir. Bref Joe Biden c’est la voix de son maître, et le maître le fait intervenir à l’ONU pour la 76è session, ce qui est tout un symbole.

En effet, je rappelle que dans mon article Au commencement du 11 janvier 2021, j’indiquais que le nombre 76 est la valeur numérique des premiers mots de la bible : « au commencement » et que donc, la 76è session de l’ONU revêtait une signification particulière : le début de quelque chose.
Nous le savons et eux aussi le savent.
Voilà pourquoi ils ont fait intervenir Joe Biden ce jour-là. Ce n’était donc ni involontaire, ni improvisé ni secondaire, mais au contraire de première importance.

Nous allons voir, à partir du décryptage du discours du Président américain, le programme annoncé pour ces prochaines années, et nous allons ensuite montrer que, mystiquement parlant, ce « commencement » est bien réel et n’est pas fortuit.
Car on ne peut étudier les messages de l’élite mondiale sans prendre en compte la dimension mystique et kabbalistique de leur raisonnement.

Le programme annoncé par Biden

J’ai relevé dans le discours du Président américain cinq points importants qui méritent qu’on s’y attarde :

1) La confirmation de la prédominance de l’agenda 2030


Selon Joe Biden, « le monde entre dans une décennie décisive pour l’humanité » : attention ce sont des mots forts : derrière le mot décisif se profile une volonté répondant à une nécessité qu’ils jugent incontestable ; je rappelle qu’il s’adresse à ses homologues, et ne laisse pas de place ici à l’équivoque : l’Amérique (sous-entendu : les Maîtres du monde qui utilisent Biden comme intermédiaire) ne tolèrera pas d’écart ni de refus. D’autre part, la durée indiquée (il reste une décennie) renvoie explicitement à l’agenda 2030, qui semble être primordial dans leur calendrier. Il leur rappelle leur engagement, car il y a six ans, ils l’ont tous signé. Le négliger serait une grave erreur parce que les « outils » retenus pour y parvenir, à savoir la crise sanitaire Covid et la crise climatique sont à relier avec cet agenda et le servent, directement ou indirectement. On y reviendra.

2) L’hostilité affichée envers toute nation réticente au Nouvel Ordre Mondial


Joe Biden a indiqué sa volonté de combattre et probablement d’éradiquer tous les dirigeants ou régimes hostiles au Nouvel ordre mondial : il appelle ça le combat contre les autocraties, face auxquelles les Etats-Unis défendent la démocratie. Cette rhétorique est connue : le méchant, c’est à dire celui qui ne s’aligne pas sur le Nouvel ordre mondial est présenté comme une sorte de dictature (autocratie) alors que le bon, c’est à dire le régime aligné, est considéré comme un bon démocrate. Voilà comment il présente la chose : « Avec nos valeurs et notre force, nous allons défendre nos alliés et nos amis et nous opposer aux tentatives des pays plus forts de dominer les plus faibles« .
Ici la menace est à peine voilée : le combat aura lieu autant sur le plan des idées (nos valeurs) que sur le plan militaire ou économique (notre force) ; le tout est de savoir sur quels critères on est un allié, un ami ou un ennemi. Donc les américains continuent à se présenter comme le gendarme du monde et même montent d’un cran en agressivité puisque Biden a ajouté que les Etats-Unis entrent « dans une nouvelle ère de diplomatie implacable« . Cela veut dire, en d’autres termes, que tout ce qui sera déclaré « ennemi », c’est à dire ceux qui ne partagent pas leurs valeurs (LGBT, avortement, vaccination… mais aussi respect de l’agenda 2030) et n’obéissent pas à leurs ordres (ceux des commanditaires de Biden), sera implacablement combattu, sachant que les mesures de rétorsions sont vastes, de la simple admonestation diplomatique à l’agression miliaire, en passant par les blocus économiques, cyber-attaques et autres effondrements boursiers locaux.

3) L’annonce d’une prochaine pandémie planifiée (!)


Concernant la crise sanitaire, Jo Biden nous a donné une information capitale : une nouvelle pandémie est au programme. En effet il a déclaré vouloir « vaincre le Covid-19 partout et nous préparer à la prochaine pandémie«  : mais comment sait-il qu’il y aura une prochaine pandémie ? Et depuis quand les pandémies se succèdent-elles ? Au contraire, par définition une pandémie est un événement exceptionnel qui, dans l’histoire de l’humanité, reste circonscrite dans le temps et dans l’espace. Donc se préparer à la prochaine pandémie implique deux choses : d’une part, cela veut dire qu’elle est déjà planifiée par les élites dirigeantes ; et d’autre part, il est possible qu’elle soit différente du Covid car il ne parle pas d’une extension de la pandémie actuelle, par l’intermédiaire de variants par exemple, mais bien d’une prochaine pandémie.

Autrement dit, les pandémies font partie intégrante de la stratégie du Nouvel Ordre Mondial pour modifier en profondeur la société humaine. Et puisqu’il parle avec tant d’assurance d’une prochaine pandémie, on pourrait estimer que les vaccins anti-Covid servent à ça : à générer une autre maladie, non covidienne, et à créer de toutes pièces une nouvelle pandémie sans pouvoir faire le lien avec les vaccins puisque la maladie sera différente. A suivre, donc.
Pour vaincre le Covid, pas de surprise il faut continuer la vaccination massive dans le monde entier « le plus rapidement possible« . Evidemment, si ça sert à créer la pandémie suivante…

Notre mise en esclavage n’est donc pas finie.

4) Confirmation que l’outil Covid sert la stratégie mondialiste


Joe Biden confirme sans surprise que le Covid sert surtout la stratégie mondialiste d’unification des pays derrière un pouvoir mondial de plus en plus visible : « Nous avons besoin d’une science plus collective. Il nous faut créer un nouveau mécanisme de financement de la sécurité sanitaire mondiale« . C’est une façon de dire aux autres dirigeants : nous avons décidé que…

5) La crise climatique, autre outil d’asservissement de l’Occident


Je crois que l’occidental moyen ne se rend pas compte de ce qui l’attend ; pourtant, de façon détournée mais de plus en plus précise, les élites lui montrent à quoi va ressembler son futur esclavage. On a bien compris que l’un des buts de la crise sanitaire est d’enclencher un mécanisme de contrôle et de suivi des populations par le numérique, reposant sur l’interconnexion des données en temps réel, d’abord pour des raisons sanitaires, qui pourront ensuite être étendues à bien d’autres secteurs.

Mais qui entrevoit réellement ce qui se profile derrière la prétendue crise climatique ?
Avant de répondre à cette question, voyons comment Joe Biden aborde le sujet : il parle d’une « crise climatique sans frontières« , donc il s’agit bien d’un second processus global à côté de celui du Covid, rebaptisé sécurité sanitaire, dans des termes volontairement très alarmistes puisqu’on en est, selon lui, au stade « d’alerte rouge pour l’humanité« , précisant que « les scientifiques et les experts nous le disent, nous arrivons bientôt à un point de non retour« . Concrètement, il faut s’attendre dans ce domaine à une autre dictature, présentée comme vitale, qui sera aussi totalitaire sinon plus, que la dictature sanitaire.

À la tribune de l’ONU, Joe Biden a donné un ordre aux autres pays en appelant à la coopération de tous les Etats lors de la prochaine COP26 en novembre. Mais tout effort mérite une récompense : il a annoncé que les Etats-Unis vont doubler leur participation à l’aide internationale contre le changement climatique (de 100 à 200 milliards de dollars). En clair, on donne du pognon à ceux qui s’alignent et jouent le jeu.

Au lieu de s’évertuer à dénoncer cette imposture (nous savons que leurs thèses sur le réchauffement climatique sont complètement bidons), nous devrions plutôt nous poser la question : à quoi ça leur sert ? À faire du business ? Pas seulement.

A remodeler en profondeur la vie sociale. Les deux outils, crise climatique et crise sanitaire, servent un même objectif : transformer l’humanité en un ramassis de pleutres apeurés, abêtis et appauvris, nouveaux esclaves volontaires d’un système tyrannique de type trotskyste.

Je ne peux ici développer le sujet, mais j’invite le lecteur à y réfléchir, ne serait-ce au moins sur un point : pourquoi le tout électrique ? Pourquoi interdire à très court terme les véhicules à moteur thermique ? Ceci génèrera une très forte hausse de la consommation d’électricité qui ne sera pas compensée par les capacités de production, puisque celles-ci n’augmentent pas parallèlement. Autrement dit, plus on va avoir besoin d’électricité, moins il y en en aura.
Ainsi les populations seront piégées : elles se retrouveront avec des véhicules électriques qu’elles ne pourront pas utiliser. Pourquoi ? Parce que ce qui est programmé, c’est la disparition de l’automobile pour le bas peuple. Voilà pourquoi Paris devient infernal avec le 30 à l’heure : pour nous forcer à abandonner la voiture. Voilà pourquoi on nous construit des pistes cyclables gigantesques et qu’on fait du cycliste « le roi du monde » nous dit le Figaro. Parce que nous finirons tous à terme comme les chinois : à vélo le goy. Avec des coupures d’électricité tournantes.

C’est ça l’ère du démon : après avoir piégé tout le monde avec le confort de vie et la société de consommation, un confort devenu indispensable, il nous le retire. Les gens vont devenir fous, littéralement fous. L’ère démoniaque commence et pour tous ceux qui y ont pris goût, ça va devenir l’enfer sur terre. Se profile un monde monstrueux dont nous n’avons pas idée. L’électricité n’en est qu’un des aspects, parmi tant d’autres.

Lire la suite  dans


https://legrandreveil.wordpress.com/2021/09/28/lagenda-mondialiste-avance/



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21 décembre 2010

Jean-Yves Gouttebel massacre les Socialistes

 

JY_Gouttebel_dans_Info   

   Le père Gouttebel n’y va pas de main morte. Dans la dernière livraison d’Info magazine (numéro 1318 du 20 décembre), le président du Conseil général, interrogé par Marc François, se paye ses anciens amis socialistes de belle manière. C’est un vrai régal.

En prennent pour leur grade :

  • le groupe socialiste du Département : «On en est là parce que Michèle André voulait absolument devenir présidente du Conseil général».
  • le gros Serge, le «Comte Drago» d’Anne Courtillé : « (Clermont-Ferrand) une ville où, depuis que le tramway a été réalisé, plus rien n’a été fait ». Comme disait Coluche : «Vous voyez bien que c’est vrai, tout le monde le dit». Ce qui, entre parenthèses, n’empêche pas les impôts municipaux d’augmenter.
  • l’adjoint du Comte, Dominique Adenot, surnommé « le chanoine » par votre serviteur : «Je suis pour que l’agglomération se muscle, pas forcément pour qu’elle grossisse». C’est vrai qu’accueillir 50000 personnes supplémentaires n’est pas une fin en soi. Encore faut-il qu’elles aient du travail. « …cela renforcerait les difficultés des quartiers à problème » conclut Gouttebel qui, on le voit, ne pratique ni la langue de bois, ni le politiquement correct.
  • l’aéroport, géré par l’amer Souchon, qui trône à Chamalières: « il ressemble de plus en plus à un aéroclub »
  • les socialistes « nationaux » : « Il existe un problème de compétition chez les socialistes mais peut être surtout un manque de programme, de contenu ». Et vlan !

   Et quand le journaliste demande à son interlocuteur comment il se sent de ne plus être socialiste, celui-ci s’exclame : « C’est un grand coup d’oxygène. Cela permet d’aller, parfois, beaucoup plus loin –par exemple en matière de solidarité envers les communes pauvres. Nous pouvons davantage aller dans le sens de l’équité, du progrès. »

   Ce qui veut dire que le socialisme est étouffant, que les socialistes ne font pas assez preuve de solidarité envers les territoires défavorisés, ne sont pas suffisamment équitables et progressistes. 

   On dira ce qu’on voudra mais cela fait du bien d’entendre de tels propos. Et combien il est réconfortant, pour ceux qui, comme moi, n’ont jamais été socialistes, de savoir qu’ils ont eu raison dans leur détestation politique. Quand, en plus, c’est un ancien de la vieille maison qui le dit, on boit du petit lait.

 

 

24 novembre 2010

Quand les contribuables virent leur maire

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     A Pont-Saint-Esprit, les contribuables, excédés par la gestion catastrophique de leur maire, obtiennent sa démission. Le sieur Baumet, ex-premier magistrat de cette commune de 9560 habitants avait fait fort :

emprunts exhorbitants : 23 millions d’euros

trou de trésorerie de 14 millions, 6 millions de factures impayées

impôts locaux en hausse de 54 à 80 %.

     Le maire avait aussi un personnel municipal pléthorique : 580 employés. De plus, alors que le patrimoine tombait en ruine, l’argent municipal finançait force fêtes, plus grandioses les unes que les autres.

     Allo ! Godard ? Pourquoi tu tousses ?

     Ce qu’il faut retenir de cette affaire, qui est loin d’être exceptionnelle dans nos communes françaises, c’est que, pour la première fois, un nabab local a été poussé à la démission par ses concitoyens révoltés. Voilà une histoire qui, je l’espère, fera tache d’huile ailleurs car beaucoup d’élus locaux se prennent un peu trop pour Louis XIV à Versailles.

     Allo ! Godard ? Pourquoi tu tousses plus ?


Lire les deux articles publiés dans l’Observatoire des subventions :

http://www.observatoiredessubventions.com/2010/pont-saint-esprit-les-plaintes-des-contribuables-demission-maire/

http://www.observatoiredessubventions.com/2010/nouvelles-elections-municipales-a-pont-saint-esprit/

 

 

 

 

30 octobre 2010

La dernière charge d'Anne Courtillé

 

Comte_Drago_Comtesse_Brava

     Il y a plusieurs façons de dire que le roi est nu. Le pamphlet a été, de tous temps, la meilleure. Si, en plus, l’auteur a du talent, comme c’est le cas ici, le résultat est un vrai régal.

     Ainsi Anne Courtillé, dans son dernier opuscule : « Le Comte Drago et la Comtesse Braya », nous a concocté une petite merveille, très jouissive. Sa charge contre les grosses têtes socialistes de Clermont-Ferrand et des environs –son maire, son égérie et ses adjoints en tête- est d’autant plus drôle qu’elle situe l’histoire au Moyen-Âge, sa période historique et romanesque favorite. Ce décalage temporel ajoute à la comédie humaine de nos édiles une dose de folklore et de bouffonnerie bien venue.

     Ces grands féodaux, nous ne les connaissons –et reconnaissons- que trop : bouffis de vanité et de préoccupations mesquines, insensibles au sort des pauvres manants. Ce sont les personnages de premier plan de cette satire féroce, qui a dû faire grincer plus d’une dent dans le « château » de la rue Philippe Marcombes.

     Je ne doute pas qu’elle ait fait naître aussi de nombreux sourires de satisfaction à droite, bien sûr, mais également à gauche, où les marionnettes que nous voyons s’agiter ici ne comptent pas que des amis.

     Quant à moi, certaines descriptions et situations m’ont fait rire aux éclats. Comme le rire est communicatif, je vous invite à vous procurer ce livret et à le dévorer d’un trait, comme je l’ai fait. Cela vous consolera de bien des choses.

« Le Comte Drago et la Comtesse Braya »
Petit divertissement autour de la vie politique clermontoise »
par Anne Courtillé
Edition : EDI

8 juillet 2010

Totems et tabous de l'antiracisme

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   Cet éditorial de Jean-François Revel, paru dans le Point, sous le titre : « Vrai et faux antiracisme », date de 1992.  Il a été repris dans le livre : « Fin du siècle des ombres » paru chez Fayard. Dix-huit ans plus tard, il garde toute sa pertinence. Et ce, parce qu’il va au fond du problème, qui est idéologique. Ce document doit devenir une arme contre ce que Revel appelle « l’idéologie antiraciste », dont les effets pervers, liés à l’immigration, s’accumulent et s’aggravent. (Les intertitres sont de Vent d’Auvergne)

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   On se demande souvent quelle idéologie va remplacer le socialisme. Mais elle est déjà là, sous nos yeux: c’est l’antiracisme.

   Entendons-nous bien : l'antiracisme dont je parle n’a pas pour but réel de lutter contre le racisme, pas plus que le socialisme n’avait pour but réel de lutter contre la pauvreté et l’inégalité. Ne les a-t-il pas toutes deux aggravées ? Comme toutes les idéologies, celle de I' antiracisme se propose non de servir ceux qu'elle prétend délivrer mais d'asservir ceux qu’elle vise à enrôler. Elle aussi aggrave les maux qu'elle fait mine de combattre.

   Agissant par la terreur et non par la raison, cet antiracisme fabrique plus de racistes qu'il n'en guérit. Telle toutes les autres idéologies, celle-ci est à la fois confuse et péremptoire dans la théorie, terroriste et contradictoire dans la pratique. L’antiracisme idéologique, qu’il faut soigneusement distinguer de l’antiracisme effectif et sincère, attise les divisions entre Ies humains au nom de leur fraternité proclamée.

Seuls les Européens sont déclarés racistes

   Il les attise de deux manières. D'abord, le seul racisme qu’il dénonce et, si besoin est, qu'il invente, est celui des Européens ou des populations d'origine européenne à l’encontre des populations du tiers monde ou qui en proviennent. Mais des Africains peuvent se massacrer entre eux, dans des guerres nettement raciales ou tribales, comme ils en donnent le terrifiant spectacle depuis trente ans sans que les militants du pseudo antiracisme aient un mot de blâme. Or ces gens qui ne perçoivent la discrimination ou le génocide que dans le cas où ils peuvent les imputer à une civilisation déterminée et qui ferment les yeux chaque fois qu'ils devraient déclarer coupable une autre civilisation ne sont pas des antiracistes. L'antiracisme est universel ou il n'est point. De même, les communistes ou leurs compagnons de route ne repéraient les atteintes aux libertés et les injustices sociales que dans les pays capitalistes, jamais dans les pays socialistes, où elles étaient pourtant infiniment plus graves. Cette duplicité indique avec certitude que, sous le masque de la générosité se trouve l’imposture.

   En 1987 a lieu aux Iles Fidji un coup d'État visant à interdire I' accès aux fonctions publiques des citoyens d'origine indienne, pour la plupart nés sur place et n'ayant jamais vu l'Inde de leur vie, afin de réserver les postes gouvernementaux aux Mélanésiens. Pour le goût de ces derniers, les Indiens avaient remporté trop de victoires électorales. Cette discrimination excluant de la vie politique près de la moitié de la population en fonction de critères ethniques est identique en tous points à ce qu’était l’apartheid sud-africain au même moment. Mais, comme les racistes étaient en I' occurrence des hommes « de couleur » sévissant contre d’autres  hommes « de couleur », les antiracistes idéologiques du monde entier ensevelirent leur indignation dans les oubliettes de leur conscience. Les idéologies sont délicates à critiquer car elles défendent toujours, au départ, une cause juste, puis pervertissent cette défense pour la détourner au profit de nouvelles formes de discrimination et de domination.

Être inquiet devant l’immigration, c’est être raciste

   La deuxième manière dont s'y prend l'antiracisme idéologique pour attiser voire susciter le racisme consiste à « racialiser », si j’ose dire, la question de I' immigration, en attribuant à un racisme à priori doctrinal et métaphysique les réactions d'inquiétude et les difficultés pratiques inévitablement éprouvées par les populations d’accueil. La meilleure méthode pout lutter contre le racisme de façon concrète, ce serait d'aborder avec réalisme les problèmes soulevés par l’immigration. Ce qu'a obtenu le terrorisme moral des antiracistes professionnels, c'est de rendre muets ceux qui vivaient ces problèmes ou voulaient les poser, en leur inspirant la peur de passer pour racistes. Par là, les antiracistes idéologiques ont envenimé les frustrations qui alimentent le racisme. Ils ont nié que les déplacements de population dans un pays différent par la culture et le niveau de vie commencent par provoquer des perturbations pratiques et psychologiques. En prêtant sottement et injustement du racisme à ceux qui les constataient, ils le leur ont inoculé. La victime en a évidemment après le vol et non après le Maghreb. C'est surtout en France qu'a pris de I' ampleur cette manœuvre malhonnête.

   À partir du moment où les socialistes ont dû abandonner le socialisme, il leur fallait une référence de remplacement pour se fabriquer des adversaires, pour excommunier les citoyens qui refusaient de penser comme eux, ce qui était d’autant plus facile qu’ils ne pensaient plus rien. Cette idéologie fut I' antiracisme érigé en procès d'intention universel contre toute la « droite ». Contraints en économie d'appliquer, fût-ce en rechignant, un libéralisme minimal, ils choisirent de se différencier des vrais libéraux en leur prêtant à tous le vice rédhibitoire et suprême à notre époque : le racisme.

  Ce réquisitoire délirant fît croître le mal au lieu de le réduire, pour la plus grande commodité politique et le plus grand confort moral de la gauche à court d'idées. Des réactions et des fantasmes xénophobes dus aux remous consécutifs à I'immigration se produisent dans toute l'Europe. Mais la France est le seul pays européen où ces appréhensions aient suscité très tôt, dès 1983, un parti et un électorat substantiel, qui pèsent sur toute la vie politique. Le Parti républicain allemand, d'extrême droite, n'obtint jamais les 15 % de voix que Jean-Marie Le Pen atteignit à l'échelle nationale dans l'élection présidentielle de 1988. Les violences néonazies et les comportements de xénophobie en Allemagne de l'Est ont de quoi écœurer, mais restent marginaux. Le 9 novembre 199I, jour anniversaire à la fois de la « Nuit de cristal » antisémite de 1938 et de la chute du Mur en1989, les manifestants hostiles à la xénophobie, au racisme et à l'antisémitisme se trouvaient à mille contre un devant les nostalgiques de la barbarie ou les détraqués de l'angoisse migratoire. En Italie, où un racisme anti noir visant la vague des immigrants africains sévit depuis plusieurs années, l’ apparition des ligues, en particulier de la Ligue lombarde, n'a que peu de rapport avec les « vu-compra », ces vendeurs ambulants, ivoiriens ou sénégalais : elle traduit plutôt un rejet de l’ Italie du sud mafieuse par une Italie du Nord soucieuse. En Espagne, les phénomènes de rejet sont dirigés surtout contre les immigrants latino-américains qui, cependant, ni par la culture ou la langue, ni par I' aspect (les Indiens purs n'émigrent pas) ne se distinguent des Galiciens, Catalans, Castillans ou Andalous dont ils descendent. En Autriche, la montée de l'extrême droite xénophobe aux élections du 10 novembre 1991 à Vienne constitue une réaction de peur contre l'immigration venue de I' Europe de l'Est et de l’URSS, comme d'ailleurs la xénophobie allemande, qui gronde contre tout ce qui vient de l'Est, y compris les Allemands dits « ethniques », arrivés d'Union soviétique, et les Allemands de l’Est tentant de travailler à I' Ouest. Ces exemples montrent qu'il existe des séismes spécifiques déclenchés par les flux migratoires et qui diffèrent en essence et en nature du racisme, puisqu'ils se produisent avec fréquence entre populations de même « race » et de même civilisation.

   Il est donc grand temps de traiter l'immigration, que nous ne pourrons jamais complètement arrêter, comme une réalité en soi, sous tous ses aspects : pratique, social, économique, psychologique, culturel, éducatif, sanitaire, politique, policier, urbain, juridique. L'antiracisme idéologique, désireux d'aggraver ces difficultés normales jusqu'à les rendre anormales et insurmontables, afin de les exploiter, a jeté sur elles un tabou. Il a donc fomenté le racisme. À nous de briser ce tabou, justement pour prévenir le racisme.

Jean-François Revel










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2 juillet 2010

Trois livres pour l'été... et pour l'avenir

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   Les temps caniculaires sont revenus (les idiots utiles de la coalition mondialiste vont encore nous bassiner avec le réchauffement). Je consacre mes heures à la lecture, sous la brise rafraîchissante de mon ventilateur de bureau.

   Trois livres m’ont particulièrement accroché dernièrement. D’abord l’essai, paru il y  a dix ans – mais toujours pertinent, hélas !- de Flora Montcorbier : « Le communisme de marché : de l’utopie marxiste à l’utopie mondialiste » (1).

   C’est l’historien Dominique Venner qui avait appelé mon attention sur ce bouquin. Dans un article paru dans « La nouvelle revue d’histoire » et lisible sur son site, il s’en inspirait grandement pour décrire le monde actuel et m’avait donné envie de le lire.

   L’essai de Flora Montcorbier, philosophe et économiste, est assez aride. Mais il est une démonstration nette que le totalitarisme communisme a laissé la place à un autre, plus efficace, le mondialisme, ou, comme elle le nomme, le « communisme de marché ».

   J’en avais eu une vague intuition lorsque j’écrivis, dans ce blog : « Les élites contre le peuple », le 28 octobre 2009. Loin du capitalisme, décrit par les économistes libéraux, le monde actuel est très proche du « 1984 » de George Orwell ou de « La route de la servitude » de Friedrich Hayek.

   C’est bien cette crainte de la disparition de nos libertés individuelles qui habite aussi l’économiste libéral Pascal Salin quand il fustige, dans son dernier ouvrage : « Revenir au capitalisme » (2), l’intervention des hommes d’Etat dans la crise, avec leur prétention d’établir une gouvernance mondiale : « ...Un gouvernement mondial serait un cauchemar potentiel. Imaginons, par exemple, que ce gouvernement soit aussi oppressif que le sont aujourd’hui de nombreux gouvernements à travers le monde. Qu’est-ce qui resterait possible pour de paisibles citoyens ? Emigrer vers la lune ? » (page 224)

   Loin, apparemment de ces craintes, Paul-Marie Coûteaux vient de rédiger un pamphlet très bien enlevé,  très stimulant et fort bien venu, contre Régis Debray qui s’ingénia, dans une préface, à célébrer de Gaulle pour mieux enterrer la France. Nihilisme intolérable pour notre ancien député européen souverainisme !

   Texte très jouissif, son « De Gaulle espérer contre tout » (3) est un must dont je vous recommande la lecture, « toutes affaires cessantes », comme on dit.  A y regarder de plus près, Coûteaux plaide, lui aussi, pour le relèvement de ses compatriotes contre leur « zombification » (pour reprendre le néologisme de Flora Montcorbier), leur enterrement dans la fosse décliniste, comme le voudraient toutes les oligarchies de chez nous, cogitateurs germanopratins en tête.

   Cerise sur le gâteau gaullien, Paul-Marie Couteaux a du style et du panache. Sa plume ferraille avec bonheur. Il est également, de tous les analystes de la vie et de l’œuvre du général, celui qui a su le mieux accéder à l’essence même du gaullisme. Raison pour laquelle, j’attends avec impatience le second tome de son « De Gaulle philosophe ».

SW

(1)    Flora Montcorbier « Le communisme de marché » Editions l’âge d’homme
(2)    Pascal Salin « Revenir au capitalisme pour éviter les crises» Editions Odile Jacob
(3)    Paul-Marie Coûteaux « De Gaulle espérer contre tout » Editions Xenia

7 mai 2010

Pourquoi le Cholestérol n'est pour rien dans votre infarctus

cholesterol_mensonges   « C’est le mensonge qui mène le monde » affirmait Jean-François Revel à la première page de son livre « La connaissance inutile ». Et il en donnait de remarquables exemples, en politique, dans les médias, en économie. On pourrait dire la même chose en ce qui concerne la santé.

   Le livre du docteur Michel de Lorgeril, intitulé « Cholestérol, mensonges et propagande » est un brûlot anti cholestérol. Ou plus exactement un brûlot contre un certain mensonge médical diabolisant le cholestérol afin de satisfaire, par la vente de médicaments à base de statines, la croissance des entreprises pharmaceutiques (un milliard d’euros chaque année leur est versé au titre de la lutte contre le cholestérol, par l’assurance maladie, c’est à dire par nous).

   A travers la médication, inutile mais rémunératrice et souvent dangereuse par les effets secondaires induits, c’est la mauvaise façon de lutter contre l’infarctus qui est visée.

Très documenté, très scientifique, cet essai remet en cause beaucoup d’idées reçues ou plus exactement d’idées fausses imposées. Il fait froid dans le dos. Des entreprises, des scientifiques, jouent avec notre santé pour se remplir les poches.

   A ceux que l’infarctus menace, l’auteur, qui est cardiologue et chercheur au CNRS, propose dans la dernière partie, des solutions en termes de mode de vie et de nutrition.


   Voilà un livre à passer, une fois votre lecture achevée, à votre médecin de famille et à votre cardiologue. La vérité les libèrera.


« Cholestérol, mensonges et propagande » de Michel de Lorgeril , Editions :Thierry Souccar

27 avril 2010

Lisez ce livre étonnant

                          pouvoir_de_attraction

J’achève la lecture d’un petit livre vraiment exceptionnel.

C’est une mine d’informations et de conseils pratiques pour attirer les circonstances favorables dans la vie.

L’auteur est un de mes mentors ; j’ai toute confiance dans ce qu’il fait et ce qu’il écrit.
Lisez donc, vous aussi, ce livre.

Il vous est offert gratuitement.

Pour le télécharger sous forme d’ebook, allez à l’adresse Internet :

http://www.davidkomsi.com/reussir.htm

et entrez le code suivant :
      
        1e2b4ba6

Je vous souhaite une lecture enrichissante.

SW

PS : Si ce livre vous plaît, n’hésitez pas à le recommander à vos proches.

22 avril 2010

Gilbert Collard met les pieds dans le plat

   Gilbert_Collard___Reichman_YV

Je n’interviens plus à propos de l’actualité. J’ai déserté mon blog pour des activités plus intéressantes que la politique.

Je ne m’interdis pas cependant de revenir à l’occasion pour vous alerter ou vous donner une information qui me semble importante.

C’est le cas aujourd’hui. Il faut absolument vous rendre sur le site « Reichman TV » et regarder l’interview de Maître Gilbert Collard.

Le célèbre avocat, maintenant résidant auvergnat à Vichy dans l’Allier, présente son dernier livre : « Avocat de l’impossible » et répond aux questions de Claude Reichman.

Il s’y livre à une analyse au vitriol de notre société en pleine décadence et lance un appel aux Français dignes de ce nom :

« Réveillez-vous !

Vous êtes trop naïfs. Cessez d’être les cocus de la finance, de la justice, des médias, de la politique.

Vous avez en vous des potentiels individuels magnifiques.

Prenez vos responsabilités. Le pouvoir c’est vous. Les autres sont les proxénètes de votre pouvoir. »

Pour se rafraîchir l’humeur à la tornade Collard, allez sur :

http://www.reichmantv.com/page4.html

Cela fait beaucoup de bien.

SW

La photo de G. Collard est extraite de l'émission de Reichman TV

28 mars 2010

Recherche réchauffement climatique désespérément

Neige_le_27_mars

Megève, Haute-Savoie, 1100 mètres d’altitude. Nous sommes le samedi 27 mars. Il est 17 heures. Il neige sans interruption depuis la nuit dernière. Le thermomètre sur le balcon indique 2 degrés centigrades.

« Pourtant, que la montagne est belle (1)
Comment peut-on s’imaginer
Voyant la neige tomber d’plus belle
Que le printemps vient d’arriver. »

Les évolutions thermiques depuis quelques années, en France et ailleurs, les malversations des scientifiques (sic) du GIEC révélées dans les médias, ont donné raison aux climato-sceptiques. Le réchauffement climatique est feu, si j’ose dire. Mieux, nous revenons peut être, à une légère glaciation.

Les Che Guevara « réchauffistes » ont bonne mine, eux qui m’accablaient de leur courroux, il y a quelques années, quand je dénonçais leur bobard ici-même (voir mes articles dans la catégorie : Ecologie libérale). Certains suggéraient même que j’étais une sorte de négationniste. Toujours cette référence récurrente à la Shoah qui ne lâche pas nos inquisiteurs modernes.

Qu’ils se rassurent, je serai plus indulgent qu’eux et n’étant pas de la graine des Torquemada, j’aurai le triomphe modeste et n’aurai pas la cruauté de leur rappeler leurs affirmations péremptoires. Il n’empêche : ces idéologues de quatre sous auront bien pollué la vie des honnêtes gens pendant un moment.
Mais, à présent, qu’ils se taisent.

SW

(1) Mais, sur la photo, on ne la voit plus !

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