2 mai 2007
Le chant de Ségolène, le soir, au-dessus du centre
Q uel dommage que je n'aie pas voté pour François Bayrou dimanche dernier. Je savourerais, aujourd'hui, le doux plaisir d'être courtisé par les deux candidats du second tour. Cette euphorie, qui envahit actuellement nos centristes, ce frisson qui pousse...