Clermont-Ferrand veut son cocorico

J’ai reçu, le 12 juillet, par courriel,  l’article ci-dessous du groupe des élus UMP au Conseil municipal de Clermont-Ferrand,  devant paraître dans le prochain numéro du Magazine municipal Demain Clermont. Ce numéro de juillet-août est, aujourd’hui, paru, mais sans l’expression des groupes politiques. Raison de plus pour mettre en ligne ce texte.

« Les footballeurs vice-champions du monde, Amélie Mauresmo vainqueur à Wimbledon et cette fabuleuse équipe de France des rugbymen de moins de 21 ans championne du monde : qui peut voir ici des signes de déclin de notre pays ?

Un chômage qui diminue, un produit intérieur qui progresse, un commerce international redevenu bénéficiaire, sont autant de signes de la bonne santé de la France.

Alors, il faut aussi que notre ville de Clermont-Ferrand suive cette embellie pour chanter son cocorico. Que nous soyons FIERS et HEUREUX d’être Clermontois.

Derrière Michelin, de nombreuses entreprises innovantes, une recherche active, une politique sportive et culturelle pleine d’atouts, un commerce qui doit être soutenu, doivent emmener notre ville vers des sommets qui permettront d’aider les plus défavorisés.

Pour cela, il faut simplement se libérer des freins que constitue une partie de cette gauche clermontoise bridée par les relents d’un marxisme partout abandonné.

A l’heure des vacances et à l’approche des élections, il faut commencer à y réfléchir. »

Docteur Michel CANQUE,

Président du Groupe « UMP et Apparentés »    

Dans le même temps, mon ami Bernard Caillot m’apprend la création du site internet de son association « Cercle d’étude et d’amitié France-USA » : www.france-usa.fr

Visitez-le. Vous connaîtrez ainsi le programme de cette association très dynamique dans les semaines et les mois prochains.

« Conseille à tes lecteurs de mettre le "son et lumiére" et de regarder toute l’ intro (en flash) au moins une fois » me dit mon correspondant. Voilà qui est fait. Savourez donc sans retenue cette animation introductive qui est une merveille. Merci Bernard !

Serge Weidmann