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Vent d'Auvergne
9 juin 2005

Présidentielles 2007: Et si le pire arrivait ?

Voici un  article prémonitoire de JD Lafay, professeur à l’Université Paris I, paru dans le Figaro du 29 décembre 1994 et figurant dans le site internet de son confrère le professeur Bertrand Lemennicier:

http://lemennicier.bwm-mediasoft.com/

L’auteur pensait à l’élection présidentielle de 1995, mais ce qu’il voyait s’est passé en 2002. Et si l’éclatement du corps électoral se poursuit, si les problèmes de la France ne sont pas en voie de règlement d’ici là, n’importe quoi peut arriver lors de la présidentielle de 2007 comme le craint le professeur Lemennicier dont le graphique inclus ici est lourd de menaces.

Imaginez qu’au premier tour de cette présidentielle les deux candidats arrivés en tête soient Le Pen et Besancenot. Que faisons-nous ?   SW

Faut-il supprimer l'élection du président de la République au suffrage universel ?

Parfaitement adapté à une concurrence bipartisane, le mode d'élection actuel pose problème lorsque le marché politique devient trop " atomistique "

Par Jean-Dominique Lafay

Paru dans Le FIGARO pages Cheminement du futur, 29/12/1994

Bien que très critiquée lors de son instauration, en 1962, la règle d'élection présidentielle à deux tours a finalement bien fonctionné. Les quatre présidents qu'elle a permis d'élire, dont un par deux fois, ont bénéficié d'une légitimité incontestée, y compris pendant les périodes délicates de cohabitation. Cependant, il serait imprudent de se réjouir trop vite de la qualité de nos institutions car ce succès est autant dû à la forte bipolarisation de la vie politique française jusque dans les années 80 qu'au mode de scrutin lui-même. Bien plus, on va voir que si le système des partis poursuit son processus d'éclatement et si aucun candidat n'est assuré dès le premier tour de participer au second, comme l'était par exemple Jacques Delors, alors le mode d'élection du président de la République risque de poser de sérieux problèmes à terme.

Réglementation particulière

Sur le marché " politique " comme sur les autres marchés, la réglementation des conditions d'accès influence fortement la forme de la concurrence. D'un côté, les barrières à l'entrée au premier tour de l'élection présidentielle sont assez faciles à franchir. De nombreux candidats parviennent à recueillir les signatures nécessaires pour se présenter et cela contribue beaucoup à animer le débat électoral (1). Mais, d'un autre côté, en ne retenant pour le second tour que les deux candidats arrivés en tête au premier, les électeurs sont incités à se concentrer sur les candidats " sérieux " lors de leur vote définitif. En fait, l'objectif du système est de segmenter le marché politique en deux, avec un groupe de candidats qui profitent de l'occasion pour promouvoir leurs idées, groupe dont la taille importe peu, et un groupe restreint de candidats qui ont des chances réelles de faire partie du duo de tête. Jusqu'à maintenant, le marché présidentiel s'est autorégulé de cette façon. La présence d'un candidat assuré de participer au second tour (grâce à l'appui d'une coalition large, de droite ou de gauche) a toujours contraint ses concurrents au regroupement (2), en sorte que le nombre des éligibles potentiels n'a jamais dépassé trois.

Le refus de Jacques Delors de participer à la compétition présidentielle crée une situation inédite puisque, pour la première fois, aucun candidat n'est réellement assuré de participer au second tour et le nombre de ceux qui peuvent raisonnablement espérer aller jusqu'au bout est relativement élevé : de fortement oligopolistique, le marché de l'élection présidentielle devient subitement très " atomistique ". Le problème est que ce type de concurrence large n'a pas les mêmes vertus en politique qu'en économie. L'élection est un jeu purement redistributif : le total des voix à partager est constant, tandis que l'échange marchand est un jeu à somme positive (où chaque participant gagne). Dans ces conditions, le duopole tend à donner des résultats très supérieurs à ceux d'une concurrence éclatée entre des partis multiples : il produit des gouvernements qui, tout en demeurant soumis à la menace de non-réélection, sont plus stables, dépendent moins du jeu des coalitions parlementaires, et qui, à l'expérience, respectent mieux les normes d'équilibre économique et financier (3).

La présence d'un marché proche du duopole est particulièrement cruciale dans le cas d'un scrutin présidentiel. En effet, si cette condition n'est pas réalisée, la règle très particulière qui consiste à éliminer tous les candidats sauf deux à l'issue du premier tour peut aboutir à des choix quasi aléatoires, c’est-à-dire sans rapport avec les préférences réelles des électeurs. L'exemple qui suit, peut-être moins hypothétique à terme qu'il n'y paraît, montre pourquoi.

Supposons que 16 % des suffrages exprimés aillent à des petits candidats du premier groupe (sans chances de participer au second tour) et qu'il y ait sept candidats de force à peu près égale, aux alentours de 12 % selon les sondages (1 à l'extrême gauche, 1 socialiste, 1 au centre-gauche, 1 au centre-droit, 2 à droite et 1 à l'extrême-droite). N'importe lequel d'entre eux a alors des chances d'arriver parmi les deux premiers : une campagne réussie, des événements extérieurs favorables peuvent donner les 1 à 2 % de voix supplémentaires nécessaires. A la limite, un duel extrême gauche-extrême droite au second tour n'est donc pas exclu ! Et, justement parce que tout est possible, les candidats ont peu de raisons de s'effacer. En termes de théorie des jeux, cela s'appelle un " chicken game " à n joueurs, dont le résultat peut être totalement opposé aux souhaits d'une très large majorité (4).

Naturellement, on peut toujours penser, et vraisemblablement avec raison, que certains candidats céderont finalement au nom d'un " intérêt supérieur ". Il n'en reste pas moins qu'un problème institutionnel sérieux vient d'être mis en évidence et que l'on en voit clairement la cause : la règle d'élimination de tous les candidats, sauf les deux premiers du premier tour. Fonctionnant parfaitement dans un système politique à deux partis ou à deux grandes coalitions de partis, cette règle peut conduire à l'absurde lorsque le système politique évolue, comme actuellement, vers un multipartisme éclaté en six ou sept partis de taille moyenne et de force équivalente. Après tout, le retour à un multipartisme style IVe République implique peut-être simultanément le retour au mode d'élection utilisé pour son président (5).

Vote par approbation

En fait, il existe au moins une solution technique au problème précédent; son seul véritable inconvénient est d'être trop novatrice pour pouvoir être sérieusement examinée avant bien longtemps (on ne bouscule pas comme cela les habitudes institutionnelles). Elle consiste à transformer le premier tour en un " vote par approbation ", où chaque électeur a la possibilité de voter pour deux candidats (différents) à la fois, celui qu'il préfère dans l'absolu et celui qui a sa faveur parmi les candidats susceptibles selon lui de l'emporter (6). Les candidats de large consensus bénéficient ainsi d'une forte prime et cela diminue nettement le risque de résultat aléatoire précédemment évoqué. Le système a aussi l’avantage de régler le problème des primaires à l'intérieur de chaque grande coalition...

Logique majoritaire

Une autre solution est de revenir à la logique majoritaire de la Ve République. La multiplication des scrutins de type proportionnel (avec les élections européennes, les élections régionales et, dans une certaine mesure, les élections municipales) a sensiblement accru le poids institutionnel des petits partis, au détriment de la cohérence générale du système électoral. Ou prend acte de cette évolution, au nom d'une représentation équitable de toutes les catégories d'opinion, et le mode d'élection du président devra certainement être repensé, ou l'on essaie de redonner au scrutin majoritaire sa prépondérance globale (7).

En tout état de cause, on aura du mal à s'installer durablement, et sans mauvaise surprise, dans la cohabitation des logiques institutionnelles ; comme pour l'économie mixte, le mélange de deux modèles purs, même s'il flatte le goût des Français pour l'éclectisme, peut cumuler des inconvénients plutôt que des avantages (8). Souhaitons que le prochain scrutin présidentiel, par un foisonnement incontrôlé de candidatures, n'en apporte pas involontairement la démonstration.

J. D. L.

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La montée des extrêmes et l'insatisfaction croissante des citoyens devant la classe politique française, mesurées par le poids des votes des partis au centre (UMP,UDF et PS) par rapport aux partis situés aux extrêmes (extrême gauche et extrême droite) aux élections présidentielles depuis 1981, explique le rejet de la constitution de l'UE et marque le début d'une période d'instabilité politique en France qui augure mal des prochaines présidentielles, comme le suggère J.D.Lafay, si ce trend se prolonge et si rien de change dans le mode d'élection.

B.Lemennicier

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(1) Comme le montre l'histoire des scrutins présidentiels, qui, en France, est presque autant celle des premiers que des seconds tours.

(2) De Gaulle en 1965, Pompidou en 1969, Mitterrand en 1974, 1981 et 1988.

(3) Voir Alesina A., Cohen G. et Roubini N. (1992), " Macroeconomic Policy and Elections in OECD Democracies ", Economics and Politics, 5 : 1-30.

(4) L'exemple le plus célèbre de chicken game " (" jeu du premier qui se dégonfle " selon la traduction de Robert et Collins) est celui de James Dean dans la " Fureur de vivre " (deux voitures roulent vers un ravin et le premier qui freine a perdu...).

(5) Par, rappelons-le, un collège de grands électeurs.

(6) Sur le " vote par approbation " et ses intéressantes propriétés, voire S. Brams et P. Fishburn (1983), Approval Voting, Boston : Birhaüser.

(7) Solution qui est vraisemblablement préférable, pour des raisons (de clarté et de stabilité des choix notamment) qu'il n'est pas possible de développer ici.

(8) Sur ce point voir J.D. Lafay et J. Lecaillon, L'Économie mixte, Puf, Que sais-je ? n° 1045.

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Commentaires
M
Les verts sont des escrocs ! Que proposent-ils avec le PS ? Un tarif unique pour le pass navigo ! Parisien, trouvez-vous juste de payer pour des zones ou vous n'allez jamais ? Trouvez-vous juste de payer deux fois vos impôts locaux (ce qu'on fait déjà !) ? On à vu à Paris comment la gestion du PS à engorgé et asphixié un peu plus la capitale ! Comment elle à défiguré les maréchaux en massacrant les rares espaces verts. (Bertrand de la no way promet aux Parisiens de sauver la bio diversité Parisienne à partir de janvier prochain ! D'ici là, il n'y aura plus rien à sauver !) Il y à tellement de plaintes, que même le commissariat du 12 e arrondissement dispose d'un bureau special pour recevoir les doleances des résidents qui se font enlever quotidiennement leur voitures par la fourrière avant de partir au travail. (Les PV sont devenus un budget equivalent au loyer !) Le quartier est sinistré ! La prostitution s'instale avec certaine prostituées d'à peine seize ans ! Les boites aux lettres sont vandalisées ! Il fallait pas dire "on est verts !", "on est une troixiemme force politique !", il fallait dire "on est les vassaux du PS !" Les gens auraient votés pour l'UDF ! Les verts ont signés leur propre arrêt de mort politique ! Les gens qui ont votés pour eux sont furieux ! Je connais bien d'azncien socialistes dégoutés des mensonges anti-patriotique du PS, qui se sont tournés vers les verts, qui ne voterons pas pour le FN et qui sont détérminés à voter pour l'UMP ! Le PS le sait bien ! La siscion est consumée ! C'est ce qui fait tant le succès de Gorges Frêche ! A.I VOTE UMP ! MARIO KEKIC
M
Vous n'imaginez pas l'arriération de nos adversaires ! L'aliénation absolue de leur cerveau n'est comparable qu'aux miettes de leur parti politique réduit en lambeau et référencé médiatiquement. Il faut bien qu’ils paient, ces ringards ! De nous avoir pris, nous de l’UMP, pour des êtres d’après eux inhumains, mangés de l’intérieur. Eux qui ont proférés que nous étions des mannequins glacés, insensibles et bêtes, sans le temps de vivre, sauf au matiérisme et à la réussite individuelle, il leur en coûte finalement de disparaître, payant à leur tour pour leurs opérations chirurgicale esthétiques, mais prouvant aux Français leur incapacité à gérer le destin du monde. Vous n’imaginez pas ce qu’ils sont eux ! Pourtant nous autre, qui n’avions pas le temps avant de nous inquiéter du destin du monde, oppressés par leur pensée socialiste. Nous allons vite, très vite, plus que politique, nous sommes universels, génériques, tel le vol du météore, de la comète, décomplexés par l’argent, qu’ils aimaient autant que nous, voire plus. Peut importe que je vous en parle, peut importe ce que j’en sais, je ne vois que huit milliards de crétins asservis, sauf mes amis ! C’est moi qui ai fait la confiture pour leurs cochons ! C’est moi qui ai fait que nous traversons tous ce temps, omniprésents et omniscients. C’est moi qui ai voulu que notre philosophie envahisse le monde, que nous ne connaissons pas, peuplé de militants des profits immédiats quotidiens de l’inhumanité et autre business de l’immobilier. Oui, nous sommes riches, très riches, car il y en a qui peuvent payer ! De ces profits immédiats, des faveurs des medias, car ils ne font juste que comme moi ! Qu’est ce que vous croyez ? Nous sommes devenus la nouvelle référence. Nous connaissons le tout Paris et les femmes aussi. Mes amis d’ouverture ne veulent plus être des crétins asservis, qui n’ont pu prendre le coche universel à leur survie. Qui veut de nous et des os de nos esprits ? Qui veut entrer dans la toile de notre réseau ? Nous sommes des hommes pressés ! Des hommes pressés ! Des hommes pressés !²
M
A QUE COCO !<br /> <br /> Pour arriver au pouvoir avec le parti ouvrier socialiste de Russie, Staline utilisa des méthodes de gangsters, pour le compte de Lénine, il utilise les attaques à main armées, la piraterie, les incendies, le chantage, l’extorsion de fonds, le racket, l’enlèvement d’enfants. Agissant dans l’ombre de Lénine, Staline se montrera sans pitié, d’une froide cruauté avec même ses amis dont il lui plait d’assassiner ou torturer les proches de ses collaborateurs pour tester leur loyauté ! Une fois au pouvoir les communistes occupent les meilleures places (dirigeants d’entreprise, généraux, ministres, journalistes…) et ils ont des privilèges refusés à la masse. Sa police politique ouvre le courrier, écoute le téléphone, arrête, torture, déporte ou exécute. Elle n’a aucun compte à rendre ni à la justice ni à quiconque à part à Staline. Mao lui a amélioré le système en provoquant la plus grosse famine de l’histoire qui à causée la mort de quarante million de personnes ! Il à envoyé cinquante millions de Chinois au bagne forcé ou sont morts vingt millions d’entre eux ! Les chinois terrorisés et résignés travaillaient gratuitement pour l’état pour éviter le sort des bagnards. Affamés, ils n’ont même plus la force de se révolter. La révolution culturelle provoqua encore trois millions de morts et quinze million de Chinois furent envoyés dans des camps de concentration pour y être « rééduqués » ! Hitler avec son socialisme national assassinat un million de Slaves Polonais, sept million de civils, (sans compter les juifs) et enfin trois millions trois cent mille soldats de l’armée soviétique. Voici donc dans l’histoire le résultat de la politique lors ce qu’elle est associée aux mots socialisme ou communisme. Les électeurs d’aujourd’hui devraient y réfléchir. Après sa dégringolade dans les sondages suite à ses bourdes répétitives, Ségol « haine » Royal «iste » rejoint enfin Martine Aubry pour un meeting commun. Cette dernière après le constat des sondages désastreux sur « le vote sanction » puis « le vote utile », à trouvée l’idée géniale de « proposant(e) » et non opposante à l’UMP, car contrairement à François Bayroux, qui lui ne pense qu’à 2012, elle-même n’y pense pas du tout ! Sic ! Jean-Luc Mélenchon, du parti de gauche a jugé justement que la première secrétaire se trompait d’élection, estimant qu’elle s’exprimait comme si elle était candidate à la présidentielle. A voir ce cafouillage, on se demande vraiment ce qu’on leur apprend à l’école politique. Peut-être qu’elle finira par trouver le bon discours, mais en attendant, à défaut de programme cohérent, la seule chose qu’elle propose, c’est elle-même ! A voir sa chute dans les sondages, contrairement à Bernard Couchner, qui est actuellement l’homme politique préféré des Français, le PS ne s’est toujours pas remis en question. Il à quand même du flair, notre Président, pour dégoter ainsi grâce à l’ouverture, des personnalité utiles surtout pour la France. Finalement les socialistes paient aujourd’hui d’avoir comparé Nicolas Sarkozy à Hitler et d’avoir soufflés sur les braises de la révolution armée par les banlieues ou la police est canardée actuellement à l’arme lourde. <br /> <br /> MARIO KEKIC
M
VOTE SANCTION !<br /> <br /> Hier, le PS de Mitterrand (et toute sa clique d'éléphants roses) ne pouvaient pas gouverner sans que tout les mois, un nouveau scandale n'éclate. Hier, Tchernobil évitait la France, le sang n'était pas contaminé, l'ARC versait tout ses fonds à la recherche du cancer. Il n'y avait pas d'assasinats politiques( Colluche, Ballavoine, Berregovoy, Grossouvre; etc...) Pas d'écoute présidentielles non plus. Le président Rwandais n'était pas assasiné par un tir de missile sur son jet à cause d'une sombre affaire de traffic de drogue et d'armes du fiston du pharaon, provoquant des millions de morts au Rwanda), le livre "Mitterrand et les quarantes voleurs" était une pure afabulation car il n'y a jamais eu cinquante cinq milliards de Francs détournés dans l'affaire Elf, ni dans l'affaire des frégates de Taïwan. <br /> <br /> Mais aujourd'hui, la France est bel et bien condamnée à payer un milliard d'euros d'amende à Taïwan (alors que le pays à bien besoin de tout ses capitaux en cette période de crise mondiale.<br /> <br /> Et après des années de discretion à flipper pour tout ses (ces) crimes, on voit le PS qui reprend doucement de la gueule et qui vient distiler son poison au nom d'un mensonge nomé SOCIAL;<br /> <br /> Social pour qui, au juste ?<br /> <br /> Pour ce parti qui depuis de longues années de sanction par les Français se retouve à fantasmer sur le tresor de la France. <br /> <br /> Et ses gens-là veulent me parler de social !<br /> <br /> Putain, il y en à qui n'on vraiment pas froid aux yeux !<br /> <br /> MARIO KEKIC
M
Depuis deux ans, Nicolas Sarkozy réforme la France et l'Europe. Il n'y a pas eu un seul scandale finnancier depuis son éléction. La France est condamné à payer un milliard d'euros à cause du scandale des frégates de Taïwan (Mitterrand)et pourtant on entend le PS appeler les Français à un vote sanction pour les éléctions Européennes. On ne vote pas pour faire une sanction mais pour notre avenir et cet appel complêtement irrésponsable reflête bien que le PS est toujours aussi nuisif et irresponsable.Lors ce que Hitler ordonna de bombarder Paris, c'est grâce aux officiers de la Wehrmart, que Paris a été sauvé. Aujourd'hui, c'est la paix et les Allemands sont nos frêres. Dailleurs, pendant cette crise, on ne s'en sort pas si mal, comparé à d'autres ! Alors ! Que veut le PS ?
Vent d'Auvergne
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